Avez-vous déjà entendu parler de l’hyperperméabilité intestinale (ou « leaky gut syndrome ») ? Il y a peu de chance, quand bien même vous courrez les médecins depuis des années ! Et pourtant, cette altération de la muqueuse de l’intestin fait le lit des maladies auto-immunes, des maladies inflammatoires de l’intestin, mais aussi de l’inflammation des articulations, de la peau, et des voies respiratoires (asthme, sinusites, etc.).
« Le danger vient toujours de l’intestin grêle » disait le célèbre Dr Jean Seignalet, en évoquant le phénomène d’hyperpérméabilité intestinale. En effet, à partir du phénomène d’hyperpérméabilité intestinale apparaissent certaines maladies graves comme les maladies auto-immunes. Rien que ça, me direz-vous ? Pourquoi la plupart des gens n’en ont jamais entendu parler, alors? Je me le demande régulièrement! C’est pourquoi j’ai décidé de tout vous dire sur l’hyperperméabilité intestinale (aussi appelée porosité intestinale ou « leaky gut syndrome ») afin que vous puissiez (re)devenir acteur de votre santé.
Si vous souhaitez enfin comprendre comment diminuer les symptômes de votre maladie auto-immune (voire la réduire au silence), apaiser vos troubles digestifs (intestin irritable, dysbiose intestinale) ou réduire l’inflammation de vos articulations, de votre peau, de vos voies respiratoires, cet article est pour vous !
Dessine-moi l’écosystème intestinal
Notre intestin est un long tuyau (intestin grêle + côlon) qui permet de digérer la nourriture et de la transformer en carburant, pour construire le corps et le défendre. Grâce aux microvillosités qui tapissent sa paroi, l’intestin grêle assure une perméabilité sélective: elle permet aux nutriments digérés de passer dans le sang, mais elle empêche les toxiques d’entrer dans notre corps, afin qu’ils continuent leur parcours & soient éliminés dans les selles.
La muqueuse de l’intestin sécrète un mucus (qui protège de l’acidité gastrique), dans lequel se loge notre microbiote intestinal (ou flore intestinale). Notre microbiote abrite 100.000 milliards de bactéries amies, qui sont à la source de notre bonne santé physique et psychique.
La muqueuse de l’intestin, son mucus et son microbiote constituent donc une véritable barrière physique, mais aussi immunitaire puisque 70% du système immunitaire provient de la sphère intestinale.
Quand la barrière intestinale s’altère
- Lorsque nous n’avons pas une alimentation physiologique, dite « ancestrale », que nous consommons trop d’aliments ultra-transformés, de blé moderne, de produits laitiers, de sucre raffiné, ou encore d’alcool ;
- lorsque nous subissons un stress chronique (qui acidifie l’organisme 300 fois à 400 fois plus que l’alimentation) ;
- lorsque nous prenons des médicaments (pilule contraceptive, antiinflammatoires, antiacides, antidépresseurs, antibiotiques…);
alors notre microbiote intestinal s’altère, se raréfie et devient de mauvaise qualité; les bactéries pathogènes prennent le pas sur les bonnes bactéries : c’est la dysbiose intestinale. Le mucus qui tapisse la paroi intestinale s’amoindrit et la paroi intestinale se fragilise, les microvillosités intestinales sont altérées, les jonctions serrées qui solidarisent les cellules de l’intestin s’ouvrent et notre intestin devient une vraie passoire : il devient HYPERPERMEABLE.
La muqueuse transformée en passoire permet alors à des molécules dangereuses d’entrer dans la circulation sanguine: des bactéries & des fragments alimentaires non digérés, tels que le gluten (du blé moderne) et la caséine (des produits laitiers), mais aussi des toxiques tels que les perturbateurs endocriniens (venant des plastiques…).
Notre système immunitaire (sur)réagit : cascade inflammatoire et maladies auto-immunes
Lorsque ces molécules (fragments alimentaires, bactéries, perturbateurs endocriniens) passent dans le sang, notre système immunitaire les identifie comme des ennemis (antigènes) à neutraliser. Mais en les attaquant, le système immunitaire s’attaque aussi à des tissus sains !
Cela provoque des réactions inflammatoires:
- intestinales : les cellules de l’intestin sont lésées (intestin irritable aussi appelé colopathie fonctionnelle),
- ORL : les voies respiratoires sont lésées (asthme, sinusites à répétition…),
- dermatologiques : la peau est lésée (acné inflammatoire, eczéma…)
- psychologiques (dépression, anxiété, troubles cognitifs)
- fatigue chronique
- prise de poids: les adipocytes (cellules de graisse) se développent plus facilement
Cet emballement du système immunitaire, qui n’est plus modulé ni « raisonnable », est aussi le point de départ des maladies auto-immunes c-à-d des maladies dans lesquelles notre système immunitaire se retourne contre nos propres cellules.
En voilà le mécanisme : certaines molécules indésirables qui passent dans le sang (bactéries, fragments alimentaires non digérés, perturbateurs endocriniens) ressemblent à nos propres cellules ; leur structure est similaire. Afin de les attaquer, notre système immunitaire fabrique des anticorps spécifiques, qui vont non seulement attaquer ces molécules indésirables mais aussi nos propres cellules, qui leur ressemblent !
C’est ainsi que :
- nos hormones thyroïdiennes sont attaquées par nos propres anticorps (Maladie de Hashimoto)
- les gaines de myéline de nos neurones sont attaqués par nos propres anticorps (sclérose en plaques, provoquée par une hyperperméabilité de la barrière hémato-encéphalique, en lien elle-même avec l’hyperperméabilité intestinale)
- nos entérocytes (cellules de l’intestin) sont attaquées par nos propres anticorps (maladie de Crohn, maladie cœliaque)
- notre pancréas est attaqué par nos propres anticorps (diabète de type 1)
- nos articulations sont attaquées par nos propres anticorps (polyarthrite rhumatoïde)
- nos mélanocytes (responsables de la coloration de la peau) sont attaqués par notre propres anticorps (vitiligo)
- notre peau est attaquée par nos propres anticorps, stimulant alors la multiplication des cellules de l’épiderme et donc la desquamation (psoriasis).
Notons que les maladies auto-immunes sont multifactorielles & sont également influencées par des facteurs génétiques.
Le stress, un facteur aggravant
Le stress aggrave l’hyperperméabilité de l’intestin car il active la production de cytokines inflammatoires qui accroissent la perméabilité intestinale. On peut dire que le stress est à la fois un déclencheur et une conséquence de l’inflammation chronique. On entre en effet dans un cercle vicieux où le stress est à son tour favorisé par un intestin et un microbiote en mauvais état.
Il est crucial de comprendre que l’intestin et le cerveau sont interconnectés : de votre santé intestinale dépend votre santé psychique et de votre santé psychique dépend votre santé intestinale.
En effet, la production de cortisol (hormone du stress), de dopamine (neurotransmetteur de la motivation, de l’énergie) et de sérotonine (neurotransmetteur de l’apaisement et du bien-être) sont contrôlés par notre intestin et son microbiote.
Quand votre gastro-entérologue peine à expliquer vos douleurs et terribles spasmes intestinaux, que son diagnostic est « syndrome de l’intestin irritable », suivi de « c’est dans votre tête », c’est donc PARTIELLEMENT vrai.
Le microbiote intestinal : un acteur clé
Notre microbiote, composé de 100.000 milliards de bactéries et micro-organismes vivants, est garant de notre système immunitaire (il fabrique un antibiotique naturel) et de notre bonne santé psychique (il influence nos neurotransmetteurs, qui régulent notre humeur, notre énergie, nos facultés mentales).
Comme on l’a vu plus haut, le microbiote s’accroche à la paroi de notre intestin grêle grâce au mucus. Lorsque le microbiote et son mucus s’altèrent à cause d’une alimentation non physiologique, de la prise de médicaments, de l’ingestion de polluants (pesticides, phtalates…) ou du stress, la paroi intestinale se fragilise et devient hyperperméable.
Le microbiote intestinal est encore plus fortement présent dans notre côlon. Un côlon sain, tapissé d’un microbiote qualitatif, produira des acides gras à chaîne courte importants pour le contrôle de l’inflammation et donc de l’immunité. On a remarqué que les personnes atteintes de la maladie Crohn ou du syndrome de l’intestin irritable ne produisent pas ces acides gras à chaîne courte aux effets anti-inflammatoires.
Si on accuse une perte de bactéries dominantes & bénéfiques, que sont les lactobacilles et les bifidobactéries, au profit des levures tel que le candida albican, on accuse une perte des fonctions protectrices : c’est la dysbiose intestinale (qui peut se transformer en candidose intestinale).
Qu’il y ait dysbiose ou même candidose, l’hyperperméabilité intestinale est toujours à traiter en priorité. On s’occupera du réensemencement de l’intestin avec des bonnes bactéries par la suite.
Le protocole pour régénérer l’intestin et rétablir l’écosystème intestinal
Comment réguler l’inflammation et réduire les maladies auto-immunes au silence ?
- En régénérant l’écosystème intestinal par le biais d’une alimentation hypotoxique et antiinflammatoire
- En accélérant cette régénération par la prise de compléments alimentaires
- En travaillant sur ses émotions
- En agissant sur son sommeil et son mode de vie.
L’alimentation hypotoxique et antiinflammatoire
À favoriser | À éviter |
Les légumes et les fruits (à consommer bio et crus dès que possible) | Les excès de viande (surtout grasse et rouge), les produits laitiers non fermentés (riches en caséine et en lactose) |
Les aliments riches en polyphénols antioxydants : fruits et légumes colorés, baies, cacao, chocolat noir, thé vert et matcha, curcuma, cannelle, gingembre… | Les produits riches en blé moderne et en gluten. |
Des aliments riches en fibres, à faible index glycémique : fruits, légumes, oléagineux, graines, légumineuses, céréales complètes (sans gluten). | Les glucides raffinés à index glycémique élevé : pain blanc, farines blanches, pâtes blanches, sucre blanc |
Des aliments fermentés (légumes lactofermentés, yaourts, tamari, kéfir, kombucha) | L’alcool, l’eau du robinet non filtrée (chlore) |
Les aliments riches en omega-3 : petits poissons gras, œufs peu cuits, huile de colza, de noix, graines de lin moulues, graines de chia… | Les acides gras trans (produits industriels), l’excès d’acides gras saturés (huile de palme, fromage…) et d’omega-6 (huile de maïs, de tournesol) |
Les aliments riches en magnésium : oléagineux, chocolat noir, soja… | Le café en excès : excrète le magnésium, potassium, calcium (acidifiant) |
Les aliments bio, fait maison | Les produits industriels et ultra-transformés : graisses trans, sirop de glucose-fructose, additifs, pesticides |
Les cuissons douces (<100°) : vapeur, basse température, cru ! | Les cuissons agressives : friture, grillades. |
On mise sur les fruits, les légumes, les bonnes graisses et les aliments riches en fibres tels que les oléagineux et les légumineuses. En résumé, on délaisse le gluten et les produits laitiers, les mauvais sucres, les mauvaises graisses et les produits carnés.
Afin d’enrichir notre microbiote & de gagner en diversité bactérienne, il est conseillé de consommer 25 fruits et légumes différents chaque semaine et d’augmenter notre consommation de fibres. Celles-ci sont qualifiées de « prébiotiques », elles sont la nourriture des bactéries intestinales (appelées probiotiques).
Mais attention, les personnes souffrant d’inflammation intestinale ne devraient réintroduire les fibres que graduellement et au fur et à mesure que leur intestin & leur microbiote se régénèrent. On commencera par les fruits et légumes cuits, en petite quantité, et certains féculents, en fonction de votre réactivité.
Donc, si votre médecin vous a conseillé d’éviter pour toujours les fibres et autres « sucres fermentescibles » (FODMAP’s), rassurez-vous, vous pourrez réintroduire la plupart des FODMAP’s (excepté le lactose) dans votre alimentation lorsque votre écosystème intestinal sera régénéré.
Les compléments alimentaires
Quels compléments alimentaires vont accélérer la réparation de l’intestin?
- La glutamine : cet acide aminé est le carburant des entérocytes, les cellules de l’intestin. Elle accélère leur renouvellement et permet réellement de régénérer, de réparer la barrière intestinale.
Le must sur le marché est Perméarégul*; il contient de la glutamine et des cofacteurs d’assimilation, qui travaillent en synergie pour une meilleure biodisponibilité et efficacité.
- Les probiotiques* contenant les souches les plus intéressantes, pour rétablir et équilibrer le microbiote intestinal.
On y ajoute la supplémentation de base, à prendre par tous et toute l’année, à savoir:
- Le magnésium*, qui aide à la gestion du stress, au métabolisme énergétique et à la perte de poids.
- La vitamine D*, qui fixe le calcium sur les os et optimise notre santé physique (fonctionnement hormonal), psychique (moral) et notre l’immunité.
- Mes omega-3*, qui régulent l’inflammation, aident à la perte de poids et au bon fonctionnement cérébral.
La gestion des émotions, du stress
Le stress chronique est un vrai poison pour l’organisme. Il serait 300 fois à 400 fois plus délétère pour la santé qu’une mauvaise alimentation. Il est donc primordial de travailler sur nos émotions négatives et notre stress via :
- L’activité physique : la marche (5000 à 10.000 pas par jour), le yoga…
- La relaxation : méditation, pleine conscience, respiration (cohérence cardiaque)
- Les compléments alimentaires : la rhodiola*, qui aide l’organisme à s’adapter au stress émotionnel et à réduire la fatigue liée au stress, mais aussi le griffonia* et le safran* qui favorisent la synthèse de la sérotonine.
Le sommeil & le mode de vie
Un sommeil réparateur est essentiel également : qui dort mal développe des troubles de l’humeur, et mange trop et trop sucré…
Lorsqu’on a le sommeil perturbé, une supplémentation ponctuelle en mélatonine* (l’hormone du sommeil) peut certes nous aider. Cependant, la question essentielle à se poser est la suivante: Suis-je aligné(e) avec mes valeurs ? Ma vie, mon travail, mon mode de vie global, correspondent-ils à mes attentes profondes ? Souvent, en parvenant à changer un mode de vie qui ne nous convient plus, on retrouve l’apaisement et un meilleur sommeil.
Les dommages collatéraux de l’hyperperméabilité intestinale
Lorsqu’on souffre de perméabilité intestinale, d’autres soucis peuvent apparaître:
- Le déficit en micronutriments (vitamines, minéraux…) par malabsorption: on assimile mal les vitamines et les minéraux si la paroi de notre intestin est en mauvais état.
- L’engorgement du foie : si l’intestin ne retient plus les toxines et les molécules indésirables, celles-ci devront être filtrées par le foie.
- La dépression : à cause des toxines qui passent la barrière du cerveau & du fait que 90% de la sérotonine, l’« hormone du bonheur », est synthétisée par l’intestin (encore faut-il qu’il soit en bon état!).
- Les intolérances alimentaires : des molécules alimentaires seront alors reconnues comme « ennemies » à combattre.
- La fragilité immunitaire : puisque 70% des cellules immunitaires se trouvent dans l’intestin.
Comment la nutrithérapie peut vous aider ?
En tant que nutrithérapeute, mon objectif est de vous aider à garder ou à retrouver la santé grâce à une alimentation physiologique, certains compléments nutritionnels et une bonne hygiène de vie globale (gestion des émotions, sommeil réparateur, activité physique). Ensemble, nous allons nous attaquer aux causes des maux, et non (simplement) aux symptômes. Masquer une douleur chronique avec un antiinflammatoire n’a aucun intérêt sur le long terme, à part aggraver la situation. Et si on mettait le pyromane hors d’état de nuire, au lieu d’éteindre les incendies quotidiens ?
En tant que coach en nutrition, certifiée en nutrithérapie, je vous propose :
- de vous aider à comprendre les origines des maladies inflammatoires chroniques et des maladies auto-immunes ;
- d’identifier avec vous les solutions concrètes et réalistes pour réduire les douleurs et les symptômes, en s’appuyant principalement sur l’alimentation. Pas de restriction ni de privation : à chaque recette et à chaque ingrédient existe son alternative saine (en mode hypotoxique & antiinflammatoire).
- de vous apporter une multitude de conseils et astuces pour améliorer votre mode de vie en douceur, ainsi que pour conserver une vie sociale riche et épanouissante !
- de vous aider à garder la motivation, à ne pas culpabiliser, à mettre de la joie dans ce nouveau mode de vie qui s’ouvre à vous !
Témoignage de régénération
Voici le témoignage de régénération de Carmen, 63 ans, atteinte de la maladie de Crohn : « Le coaching avec Myriam a totalement changé ma vie. J’ai 63 ans et je vis avec une maladie de Crohn depuis plus de 40 ans. Voilà trois mois que je suis ses conseils et je me sens mieux que jamais. Finies mes douleurs au ventre et aux articulations. Très nette amélioration du transit. Tout cela en mangeant principalement des fruits et des légumes, un rêve pour moi. Je me sens en forme. Et ce n’est pas terminé, car trois mois c’est court pour bien évaluer tous les bienfaits d’un tel changement. Au début, la progression est lente, mais maintenant que j’ai bien compris et que j’arrive à bien appliquer tous les principes et conseils de Myriam, cette fois-ci sur le long terme, mon état de santé va continuer à aller de mieux en mieux. Merci Myriam ! »
—————————————————————————————————————–
*Pour l’achat des compléments alimentaires, je vous renvoie vers le site de COPMED, qui propose d’excellents produits fabriqués en France. Mentionnez toujours le code ABE666 dans la rubrique « CODE PRATICIEN » lorsque vous créez votre compte client.
** Etudes référentes:
- Possible links between intestinal permeability and food processing: A potential therapeutic niche for glutamine, 2010.
- Dietary glutamine prevents the loss of intestinal barrier function and attenuates the increase in core body temperature induced by acute heat exposure, 2014.
- Glutamine and the regulation of intestinal permeability: from bench to bedside, 2017.
- The Dynamic Interplay between the Gut Microbiota and Autoimmune Diseases, 2019.
- Diet, microbiota and autoimmune diseases, 2014.
- A Viewpoint on the Leaky Gut Syndrome to Treat Allergic Asthma: A Novel Opinion, 2016.
Claudine Bachelier dit
Bonjour Myriam et merci beaucoup de nous partager avec autant d’informations et précisions ce formidable sujet de la santé intestinale.
Je ne manquerai pas non plus de lire votre E-BOOK 🙂
J’ai une question sur cet article : en page 2 vous résumez l’écosystème intestinal en :
– microbiote et muscus
– épithélium
– et muqueuse.
Mais quelle différence faites-vous entre l’épithélium et la muqueuse ?
Belle journée
Fontaine Catherine dit
Je vous remercie de votre positivité et non culpabilité. Peut on prendre en plus du permearegul les gélules d aloesvera dans le cadre de douleurs intestinales avec stabilité de la maladie coeliaque. Merci
Myriam dit
Bonjour, oui l’aloé vera est toujours bénéfique afin de régénérer les muqueuses et tissus irrités. Cependant, je conseillerais de démarrer 3 semaines de Perméarégul avant de démarrer simultanément l’aloé véra.
Chantal dit
Bonjour, je viens d’avoir vos coordonnées sur le forum SII, votre site est bien fait et connaissance de vos articles et produits COPMED mon Naturopathe me l’a déjà prescrit (j’ai du mal à le boire c’est trop compliqué !)
Merci pour la qualité de vos articles et conseils.
Cordialement,
Chantal
Myriam dit
Bonjour Chantal, merci pour votre retour sur l’article et sur les compléments alimentaires. Sachez que PERMEAREGUL existe désormais sous forme de gélules. Bonne continuation sur le chemin de la santé! 🙂